dimanche, mai 13, 2007

A la charnière



Rentrée au petit matin.
Les rues sont comme ma tête pour une fois.
Avec cette lumière étrange, ambigüe.
M'étaler sur mon lit.

Penser au personnage de Kafka qui espère quelqu'un qui ne viendra sûrement pas.

Je préfère le manquer en l'attendant.

Guetter l'absence comme on est vivant, comme on se rend vivant.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

moi je fais comme Samuel, j'attends, mais qui? j'ai oublié...
tu m'as l'air de faire la fête en ce moment! c cool.
moi je reviens dans le monde civilisé bientôt pour moi aussi, faire la fête parce que je le vaux bien moi aussi (Bescherelle au secours!!!!!!!!!!!!!!)

mlys a dit…

Rires ... tu arrives à parler de Kafka après une soirée arrosée ? Quelle culture !!!

Plus sérieusement tu attends ...?

Je t'embrasse.

ps: je vais finir la partie de lui.

Emi a dit…

Monsieur Toujours Raison : ouaip, je fais la fête! C'est trop bieng... Tu reviens dans le monde civilisé bientôt? Quand ça et où ça? (Et le bescherelle, tu peux le laisser où il est hein... moi je suis pas quand même une monomaniaque)

FBK : ... j't'adore oui, et ce que j'attends, c'est ton 31ème chapître.
:p

Bip bip et coyote corporation a dit…

Rentre a la lueur du jour...arrive en plein jour...j'ai attendu aussi...mais finalement, je l'ai trouve, il m'attendait, la, offert et desirable.Il etait chez moi... mon lit...