mercredi, avril 11, 2007

Les élections présidentielles vues par mon moi-je intérieur

Le monstre n'a pas raconté d'histoires. Lui, il est muet.
Il y aura de la gratitude de chaque bord, et des liesses et puis oooh, d'immenses orgies.
On devra bien sacrifier nos principes.
Ah! Ca ne sera pas une mince affaire.
Mais, ils courent tous, effrénés, essouflés.
On les entendra bien rugir à la longue, les souffles entremélés, brefs, arythmiques.
Démembrés.
Il n'y aura plus de différences entre eux et les autres, et viendra le temps où nous nous demanderons s'il en a eu une un jour, même quelconque.
Alors, ils discuteront et de grandes phrases seront prononcées.
Et il sera déjà trop tard.
Bien sûr, encore une fois : un immonde spectacle, et le Grotesque, mais faut-il vraiment encore le répêter?
L'inspiration biblique, le sacré me joue sans cesse des tours...
A moi, la prophètesse de nos temps cyniques!

...

Tel est pris qui croyait prendre.



Maintenant, clique, et oublie comme tout ça est moche... 2,17 minutes de pureté...

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