Demain ou hier, l'Amour
Je ne parle pas. Je ne veux pas laisser de traces, je n'aime pas ça.
Je me masque, le chemin inverse existe, il est dérobé à leurs vues.
Mon étrangeté est mon extrémité.
Le mystère dont on ne doit pas se défaire.
L'inconnu, la servilité et la liberté qu'il implique.
L'ignorance rétroactive, la foi déclinante.
Ou le soulagement amer.
Ou (où) l'expectation, vitale :
La Source.
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6 commentaires:
Mais qu'est ce que tu racontes, tu parles très bien le poème...
Tu pétilles de partout, c'est l'été qui te fait cet effet?
;-)
coucou Emi
Je constate que tu es en pleine période de création ...J'aime toujours autant te lire, parfois de chercher la part de toi dans tes mots, m'identifier aussi ...Tu écris toujours aussi bien, continue ma belle.
Je t'embrasse.
MLYS
marcher
en cercle
dans le sens contraire
des aiguilles d’une montre
peut-être
alors
le passage se fera
sans arbre
la mémoire
en efflorescence
Piero : merci
Ardalia : l'été, oui, c'est exactement l'été qui me fait cet effet :)
MLys : il faut qu'on s'appelle toi et moi, non mais!
Ismaël : à contre courant, ce n'est pas forcément à l'envers...
Mmmm Emi et l'ete...;)
Mais au fait, qu'attendons nous des autres lorsque l'on parle?
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