dimanche, septembre 24, 2006

Quand je ressors des vieux machins et que j'incarne la Nuit Rêvée...

Laissez moi me confondre avec le bruit du vent
Aux doux murmures de la nuit qui chuinte

Milles apparences et milles désespoirs aidant pour cette vie feinte

M'abîmer toute entière dans l'espoir agonisant


Enfantillages, cruauté à jamais épanchée

Ecrémées les profondeurs célestes, enchasser les orages ajournés,
Dégouline le monstre de ma solitude, poison dégorgé, perfide lune,
Le sacrifice est entier, surgit la lame blanche, l'horizon des écumes.


Voilà que la mort rode en mon sein qui s'affaisse

Laise couler ce sang, il vole à mon secours

Emporte avec toi le souvenir de mes maladresses
Mais laisse enfin se répandre le sang de nos amours.


Voici La Nuit Rêvée... En images :

3 commentaires:

Kinishao a dit…

C'est très joli. J'aime beaucoup.

Emi a dit…

@ Woland : Mici :)

Sinon, je précise (j'ai l'impression de passer mon temps à ça...) que les photos sont prises avec un téléphone, alors bien sûr pour la netteté, on repassera hein... Sachant que j'avais pas ça avant sur mon tél, que j'ai pris l'option en plus sur mon nouveau pour me tester (dans l'absolu, pour moi, un téléphone, ça sert juste à téléphoner) pour le moment, je fais joujou, je vois ce que ça donne et puis si je le sens vraiment, j'investisserais dans un vrai appareil photo...

Anonyme a dit…

(transmué(é)) dans le songe surdimensionné(e) géantissime
dans ses infrasons propres;
appréhender son retour à une réalité
propre elle aussi

participer au systême en
même temps que lui tourner le dos il sera redoutable d'
y
trouver la place pour soi

le refuge dans l'esprit ne suffit plus lorsque la peau réclame
plus

sang acide tu ne sais pas arrêter ton coeur de parler
en ton nom

butcherbwoy