This Love
Chaque chose a une fin.
On se dit des choses affreuses, bien méritées.
C'est comme ça, ça fait partie des règles du jeu.
Parce que dès le moment où tu te déchires, tout se remet à être atrocement trivial.
Ca brûle à l'intérieur, c'est l'acide qui te mange l'estomac, toute la patience que tu as misée, toute la bonne volonté, toutes les heures passées à imaginer, et à rêver, que tu ne lui as jamais communiquées.
Pourquoi?
Parce que ça t'appartient.
C'est à toi, ce brillant trésor, c'est indicible.
Ce que tu as en toi, tu ne peux pas le perdre, personne ne peut te le prendre, ni te l'arracher, ça t'appartient.
Ca se teinte peut-être d'un peu d'amertume, mais la vérité, c'est toujours amer.
Et c'est la meilleure des compagnes, la vérité, peut-être même la seule qu'il me reste.
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9 commentaires:
tout le bon se teint de rouge et donne vie à la tempête, la haine comme une sublimation de l'amour ... le problème n'est pas tant que les histoires d'maour finissent mal en géneral , mais que les êtres humains finissent par aimer à se faire mal en géneral ... ça laisse un gout amer, un gout de cendres, d'avoir craché son venin ça ne soulage pas même si c'est parfois fait pour achever une relation à l'agonie
Pourquoi se compliquer la vie a etre malheureux alors que l'on peut etre heureux? (c pas plus plus compliquer faut juste voir les choses dans l'autre sens)
BLC : Bienvenue à toi, je suis allée visiter par chez toi du coup, ça m'a plue, je reviendrai ;)
Un certain masochisme ambiant, faut croire... C'est cette sacrée idée qu'on est obligé de souffrir, alors bon, on se force à y prendre goût au final.
Mais faudra bien se rallier au bonheur, à un moment ou à un autre, et pourquoi pas maintenant?
:)
Anonyme : Si quelque chose se finit, c'est que quelque chose d'autre commence...
Oui, c'est tout ce sur quoi je me repose...
mmm, faut qu'on s'appelle nous hein...
Et bien, ça ressemble au chemin de croix de l'acceptation.
Anonyme n'a peut être pas compris qu'être malheureux ça peut être aussi se faciliter la vie. Mais c'est juste pour polémiquer.
J'ai enfin trouvé le peintre que je cherchais : do you remember ? Nicolas de Stael. Pourquoi ? Ne me le demande pas.
hug !
Et si... c'était pas tant qu'il faille vraiment souffrir, mais qu'on souffre chaque fois qu'on doit quitter un état pour un autre, comme quand on marche: bien obligé pour avancer de passer d'un pied sur l'autre, et il y a moment de déséquilibre au milieu, forcément. Et dans la vie, on se complait et s'attarde trop souvent entre deux pas, puisque là on se sent vivre, même désagréablement. Ou pas?
Hug : le concours de flemme, je le gagne à tous les coups ;)
Se faciliter la vie en étant malheureux? Oui, du moment que t'es en accord avec toi, je pense... Histoire de pas essayer d'atteindre un truc qui t'est inaccessible sur le moment et de t'enfoncer du coup encore plus...
L'acceptation, quoi :)
J'ai regardé les tableaux de Stael... C'est les couleurs, qui te font penser à lui, les couleurs, oui. Et puis, peut être parce que malgré le fait qu'elles soient vives, ils se dégagent une certaine profondeur de tout ça hein (comment je m'auto complimente en faisant de l'analyse artistique à deux balles, c'est indécent lol)
Londonien devin : bah, tu sais, je gère... Et j'ai besoin de toi, mais pas seulement pour les coups de déprime...
Br'in : tu as raison, et je vois pas quoi dire d'autre, vraiment, chapeau.
ça m'a plue, je reviendrai ;)
Comme la Bretagne, pareil, tu t'y es bien plue :).
Bon, quoi te dire ma chère Amiante, sinon qu'on finit par se retrouver assez souvent sur les mêmes rails. Allez, on y croit, moi aussi je vais me sortir les doigts du cul et me remettre à m'accomplir plutôt qu'à déprimer...
Et puis des fois tout se finit bien, non pas sans douleur mais avec l'intelligence du coeur; avec cet infime espoir insufflé par cette si chere pandore, qui me permet de garder une petite lumiére du possible dans un petit coin de mon coeur,immortelle.
En espérant ne pas te perdre de vue, tu as tout mon amour.
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